Tout s'effondre autour de nous et les écolos dingos trouvent opportun de disserter sur le sexe des brochettes, un peu comme en 1453, on dissertait à Constantinople sur le sexe des Anges.
On sait ce qu'il advint.
Le blog d'un contemporain du crépuscule - Membre de l'Internationale Réactionnaire
Tout s'effondre autour de nous et les écolos dingos trouvent opportun de disserter sur le sexe des brochettes, un peu comme en 1453, on dissertait à Constantinople sur le sexe des Anges.
On sait ce qu'il advint.
— ClemZ74 ⓩ (@clemfr741) August 30, 2022
On lui souhaite bon retour en terre d'islam.
En espérant que l'on va remplir l'avion.
Repéré dès 1994 par les services de renseignements comme "frériste", il aura fallu 28 ans aux différents pouvoirs qui se sont succédés pour nous débarrasser de cet ennemi de la France. Aujourd'hui en fuite, il aura eu largement le temps d'instiller son poison dans une partie de la jeunesse.
On frappe les prêtres, on leur crache dessus, on les rudoie quant on ne les égorge pas.
On agresse les paroissiens, on tague les églises, on les profane, quant on ne les incendie pas.
Le choix de l'église Saint-Patrice ne doit rien au hasard, puisque c'est en cette église, qu'est célébrée la messe selon le rite tridentin.
Tous ces crimes portent les mêmes signatures; celle de l'islamisme et celle du gauchisme. L'islamo-gauchisme mène un djihad au quotidien qui n'a pour seul but que la destruction de la civilisation française.
Chrétiens de tous horizons, réveillons nous et cessons de tendre le cou dans cette guerre civile qui a déjà commencé.
C.D
ps: le texte avait disparu lors de la première publication
« Mes très chers Frères,
Il y a une morale chrétienne, il y a une morale humaine qui impose des devoirs et reconnaît des droits. Ces devoirs et ces droits, tiennent à la nature de l’homme. Ils viennent de Dieu. On peut les violer. Il n’est au pouvoir d’aucun mortel de les supprimer.
Que des enfants, des femmes, des hommes, des pères et des mères soient traités comme un vil troupeau, que les membres d’une même famille soient séparés les uns des autres et embarqués pour une destination inconnue, il était réservé à notre temps de voir ce triste spectacle.
Pourquoi le droit d’asile dans nos églises n’existe‐t‐il plus ?
Pourquoi sommes‐nous des vaincus ?
Seigneur ayez pitié de nous.
Notre‐Dame, priez pour la France.
Dans notre diocèse, des scènes d’épouvante ont eu lieu dans les camps de Noé et de Récébédou. Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes. Tout n’est pas permis contre eux, contre ces hommes, contre ces femmes, contre ces pères et mères de famille. Ils font partie du genre humain. Ils sont nos Frères comme tant d’autres. Un chrétien ne peut l’oublier.
France, patrie bien aimée France qui porte dans la conscience de tous tes enfants la tradition du respect de la personne humaine. France chevaleresque et généreuse, je n’en doute pas, tu n’es pas responsable de ces horreurs.
Recevez mes chers Frères, l’assurance de mon respectueux dévouement. »
Jules‐Géraud Saliège Archevêque de Toulouse 13 août 1942
A lire dimanche prochain, sans commentaire
Merci à l'Abbé Pierre Girard de nous avoir fait la lecture de ce texte, dimanche 14 août 2022, pendant l'office à Notre Dame des Anges.
pour aller plus loin
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/la-lettre-d-un-eveque-lue-dans-les-synagogues-20220715
FERRÉ : Je ne suis pas, je ne peux pas être un militant. Je ne peux pas militer pour quelque idée que ce soit car je ne serais pas libre. Et je crois que Brassens et Brel sont comme moi, parce que l’anarchie est d’abord la négation de toute autorité, d’où qu’elle vienne. (…)Je vous assure que quand vous prononcez le mot anarchie, ou anarchistes, même en scène, les gens ne rigolent plus, ils sont d’accord, et ils veulent savoir ce que c’est.
BRASSENS : C’est difficile à expliquer, l’anarchie… Les anarchistes eux-mêmes ont du mal à l’expliquer (…). C’est d’ailleurs ce qui est exaltant dans l’anarchie : c’est qu’il n’y a pas de véritable dogme. C’est une morale, une façon de concevoir la vie, je crois…
BREL : …Et qui accorde une priorité à l’individu !
FERRÉ : C’est une morale du refus. Car s’il n’y avait pas eu au long des millénaires quelques énergumènes pour dire non à certains moments, nous serions encore dans les arbres !
BREL : Je suis entièrement d’accord avec ce que dit Léo. Cela dit, il y a des gens qui ne se sentent pas seuls ni inadaptés et qui trouvent leur salut collectivement.
BRASSENS : Bien sûr. En ce qui me concerne, je ne désapprouve jamais rien, les gens font à peu près ce qu’ils veulent. Je suis d’accord ou je ne suis pas d’accord, c’est tout. Parce que j’avais dit ça, on m’a souvent reproché de ne pas vouloir refaire la société. C’est que je ne m’en sens pas capable. Si j’avais des solutions collectives…
BREL : Mais qui, qui a la solution collective ?
BRASSENS : Il y en a qui prétendent l’avoir. Mais dans le monde actuel, il n’y en a pas beaucoup qui semblent la détenir… [rires] Moi, je ne sais pas ce qu’il faut faire. Si je le savais, si j’étais persuadé qu’en tournant à droite ou à gauche, en faisant ceci ou cela, le monde allait changer, je la sacrifierais ma petite tranquillité ! Mais je n’y crois pas tellement…
FERRÉ : Moi je suis moins lyrique que lui…
BRASSENS : …Toi, Léo, tu es complètement désespéré !
BREL : Il y a un phénomène d’impuissance aussi, qui est absolument affreux, quoi…
- Vous avez donc vraiment l’impression de ne rien pouvoir faire ?
BRASSENS : Non, je fais quelque chose auprès de mes voisins, de mes amis, dans mes petites limites. Je pense d’ailleurs que c’est aussi valable que si je militais quelque part… Ne pas crier haro sur le baudet, c’est une forme d’engagement comme une autre.
FERRÉ : Je trouve que Georges, dans son cœur, il milite bien plus que moi. Parce que moi, je ne crois plus en bien des choses auxquelles il veut croire.
BRASSENS : Je fais semblant, Léo. Je fais comme lorsque l’amour s’en va. Je fais semblant d’y croire, et ça le fait durer un petit peu…
FERRÉ : Non, non. Quand l’amour s’en va, il est déjà parti depuis longtemps.
- Propos recueillis par F-R Cristiani et J-P Leloir. 1969
« Cette gauche s'est donc inscrite directement dans les luttes américaines, abandonnant tout esprit critique et plongeant dans un anachronisme et un anhistorisme débridés. Débats sur le déboulonnage des statues de personnages suspects comme Colbert, repentance à l'égard de l'esclavage, mise au pilori d'intellectuels critiques à l'égard du décolonialisme ou de Metoo, vogue des “safe spaces” et des réunions non mixtes, concept de personnes racisées, luttes intersectionnelles, la pensée d'extrême gauche s'aligne littéralement sur celle de la gauche universitaire américaine, réussissant ce que les États-Unis avaient échoué à faire durant la guerre froide, noyer Marx dans le Coca-Cola, comme si cette gauche s'était mondialisée et américanisée sans même s'en apercevoir et qu'elle se comportait comme une Internationale sur le modèle communiste, mais tournée vers une grande lumière à l'Ouest. »
Anne-Sophie Letac, « Comment l’extrême gauche française a noyé Marx dans le Coca-Cola », dans Le Figaro Vox du 2 août
Le 26 juillet dernier, la Métropole Rouen Normandie et Enedis inauguraient les bornes destinées à recharger les nouveaux bus électriques du dépôt des "2 rivières" dans le cadre de "la mobilité électrique", censée développer " des transports plus propres et plus performants" au sein de la métropole.
Il est des jours où l'on a envie de remercier le photographe et son sujet. Le sait-il, Nicolas Meyer Rossignol, président de la toute puissante métropole Normandie Rouen lorsqu'il s'agit d'assujettir, citoyens et communes, que sa pose est tout aussi ridicule qu'idéologique ? Passons sur son air empoté dans cette scène de pure communication car l'escroquerie intellectuelle est ailleurs.
Le sait il, notre néo-socialo écolo bobo tendance Annie Dingo, qu'à l'autre bout de la prise, se trouve une centrale à gaz, une centrale à charbon et de moins en moins une centrale nucléaire, c'est à dire des centrales qui produisent de plus en plus de CO2 pour faire avancer les nouveaux joujoux de notre Principicule ? Le sait il qu'à l'autre bout de la prise, se trouvent des mines de lithium, nickel, cobalt et autres où triment des gosses de huit ans, exploités pour trois francs, six sous comme disait ma grand mère, quasiment sept jour sur sept et dont l'espérance de vie ne dépasse guère l'adolescence ? Le sait il, notre Principicule qu'à l'autre bout de la prise, son énergie prétendument "propre" ici, dégueulasse en fait avec ses déchets (batteries), des pays d'Afrique et d'Asie, souillant l'environnement et intoxiquant les populations ? Bien évidemment qu'il le sait ! Mais notre Principicule et ses affidés se fichent de l'écologie, ici et surtout ailleurs et ne font que de la "com" et de l'idéologie. Voilà un siècle et demi, la gauche colonisait l'Afrique au nom de sa mission "civilisatrice", aujourd'hui elle se contente d'y exporter et déverser ses déchets au nom de son idéologie écolo-progressiste en Europe.
C.Dragasès
EXCLU INTERVIEW Baptiste Marchais Youtubeur Bench&Cigars « un mec profanait une cathédrale je le lui ai fait sérieusement regretté. Notre combat passe d’abord par la prière mais on doit aussi avoir une réaction physique. »
— MIKE BOROWSKI (@BOROWSKIMIKE) August 4, 2022
A RT à fond pic.twitter.com/o7KcLadl8m
« Je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux, qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer des petits et vulgaires plaisirs dont ils remplissent leur âme. Au-dessus d'eux s'élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d'assurer leurs jouissances et de veiller sur leur sort.…Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l'âge viril; mais il ne cherche au contraire, qu'à les fixer irrémédiablement dans l'enfance. Il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu'ils ne songent qu'à se réjouir. »
Alexis de Tocqueville