"Gouverner c'est faire croire."
Machiavel, Le prince (1513)
Le blog d'un contemporain du crépuscule - Membre de l'Internationale Réactionnaire
Ainsi, le "mur des cons" sur la place de l'église à Bihorel, a été abaissé d'un mètre. La belle affaire ! Ce qu'il en reste est toujours aussi laid. Le talus végétalisé et les arbres, eux, ont disparu à tout jamais.
Rien ne peut effacer le résultat hideux d'une décision prise par des esprits médiocres et bornés, incapables d'intégrer dans la rénovation de notre place des arbres et un talus présents depuis des décennies.
A Bihorel, la médiocrité est au pouvoir depuis vingt ans.
C.Dragasès
Difficile de choisir dans l'œuvre de Bertrand Tavernier. Entre "Capitaine Conan", "ça commence aujourd'hui", "un dimanche à la campagne", "que la fête commence", entre autres.
Alors je ne vais pas choisir, ce sera un à la fois.
" Je ne crois pas que la monarchie eût laissé se déformer si gravement l’honnête visage de mon pays. Nous avons eu des rois égoïstes, ambitieux, frivoles, quelques-uns méchants, je doute qu’une famille de princes français eût manqué de sens national au point de permettre qu’une poignée de bourgeois ou de petits bourgeois, d’hommes d’affaires ou d’intellectuels, jacassant et gesticulant à l’avant-scène, prétendissent tenir le rôle de la France. "
Georges Bernanos - Les Grands Cimetières sous la lune
« Toute civilisation exténuée attend son barbare [...]. »
Emil Cioran, De l’inconvénient d’être né (1973)
La bande annonce de la soirée des Césars avec une présentatrice qui , oh transgression suprême " pétait " , pouvait laisser craindre le pire.
Vulgarité, bêtise, laideur , les subventionnés ont craché dans la soupe. Les cinémas sont fermés et bien qu'ils le restent définitivement si c'est pour projeter ce cinéma là.
crédit photographique paris normandie |
"les bras m'en tombent ! ". C'est sans doute la réaction qui fut celle d'un certain nombre d'entre vous, mes chers Compatriotes, en voyant pour la première fois ces affreux gabions sur notre place de l'église. D'autres comme moi, un peu blasés et que vingt années de décisions du maire ont habitué à la médiocrité de ses choix, auront poussé un léger soupir de dépit en découvrant cette nouvelle verrue. Une de plus !
Le "mur des cons", c'est je crois le nom qui s'impose pour cet horrible amas de caillasses pour lequel ont été abattus pas moins de huit arbres âgés d'une cinquantaine d'années qui chacun produisaient chaque jour, la quantité d'oxygène nécessaire au quotidien de cinq personnes. On a envie d'adresser dans une grande clameur un " bravo champion ! " à notre petit marquis. Un champion du mauvais gout comme le sont souvent les parvenus provinciaux et dont chaque nouvelle réalisation à Bihorel marque un peu plus l'avènement de la laideur sur le territoire de notre commune.
Oui un "mur des cons" . Les cons, ce sont d'abord ceux qui ont conçu les plans de la restructuration de notre place de l'église, des bouffis d'orgueil qui regardent avec condescendance les habitants et qui ne pensent qu'au "pognon de dingue" que va leur rapporter la réplique tout juste modifiée de ce qu'ils ont déjà produit pour enlaidir d'autres ailleurs.
Le "mur des cons", c'est aussi et surtout celui des élus et administratifs, qui à Bihorel, ont validé le projet, parait-il, sans en avoir vu une maquette ou une modélisation numérique 3D (un comble ! ). C'est en tous cas, ce qu'argumente pour sa piètre défense, notre petit marquis. On le sait incompétent et baratineur, dans ce dossier, il aura fait montre de ces deux attributs.
Et oui, cher petit marquis, pour reprendre une formule que vous affectionnez "nous ne sommes plus au moyen âge mais au vingt et unième siècle" alors mon cher à notre époque, on ne donne plus son accord pour un projet urbanistique sans en avoir un aperçu 3D ou bien c'est que l'on agit comme un baltringue qui se fait fourguer à un prix exorbitant des vieux plans sur papier format A4 . Mais peu importe, l'administré qui n'a pas eu son mot à dire quant au projet, pourvoira au financement du désastre. Oui, incompétent et menteur.
Il existe une autre explication, tout aussi plausible. Il se dit que notre petit marquis n'est pas un bourreau de travail. Alors peut-être s'est-il contenté d'acquiescer à ce que lui racontait le "bureau d'étude" sans aller chercher plus loin. L'essentiel pour lui, c'était que la place changeât. Voilà longtemps que j'ai acquis la profonde conviction que de Bihorel, il s'en fichait. Rappelons nous, mes chers Compatriotes, la célèbre phrase de notre petit marquis "le seul mandat qui m'intéresse, c'est la députation".
Ce "mur des cons" devient maintenant aussi un "mur des lamentations". Oui, les cons se lamentent, je parle là des Bihorellais, tout du moins de ceux qui reconduisent élections après élections les mêmes bras cassés et auxquels j'ajouterai et ils sont au moins aussi nombreux, les Bihorellais qui ne s'intéressent aucunement à leur commune, qui n'assistent jamais à aucune réunion, ni à aucun conseil municipal, même lorsque l'avenir de la commune s'y joue. Et après ça vient chouiner. J'ai déjà tout écrit sur la réunion de "concertation" avec la population quant au devenir de la place, qui se tint le 2 décembre 2019 devant une petite centaine de Bihorellais.
Retrouvez ici mon billet de l'époque
http://constantindragases.blogspot.com/2019/12/bihorel-un-territoire-perdu-de-la.html
Je pense qu'il n'aura pas échappé à votre sens de l'observation que les arbres de la place ont été également abattus au delà de l'espace dédié au "mur des cons" et cela jusqu'en bordure de l'actuel square, bien évidemment en prévision de la phase 2 du réaménagement de la place. D'autres outrages à notre cadre de vie sont à venir et les jours de notre square paraissent comptés.
crédit photographique paris normandie |
Voyez-vous, mes chers Compatriotes, finalement je suggère que ce "mur des cons", soit officiellement baptisé "mur Pascal Houbron, cet homme qui n'aimait pas Bihorel" afin de rappeler aux générations futures, qui fut le fossoyeur de notre commune dont le premier maire de son histoire, Alfred Caron, souhaitait à la fin du 19ème siècle lors de sa création, qu'elle devint "le joyau des alentours de Rouen".
C.Dragasès
En cette période où la repentance à la "Chirac" semble faire son retour, il est bon de replacer l'église au milieu du village et de rétablir quelques vérités. La lettre du Professeur Savelli date de plusieurs années, je l'avais moi-même d'ailleurs publiée sur ce blog voici une dizaine d'années.
Elle reste malheureusement d'actualité puisque la république s'obstine à faire perdre à la France sa dignité.
LETTRE A Mr BOUTEFLIKA
Président de
Monsieur le Président,
En brandissant l'injure du génocide de l'identité algérienne par
C'était le Maghreb ou l'Ifriqiya, de
Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant
trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage,
malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la
dîme ,sans rien construire en contre partie.
Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves. Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d'esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. Dans l'Alger des corsaires du XVI ème siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés. D'où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain...Les beys d'Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12.000 têtes pendant son règne.
Faut-il oublier que l'esclavage existait en Afrique depuis des lustres et
existe toujours. Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves
africains. Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les
négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des
siècles avant l'apparition de
Faut-il oublier qu'en 1830, les
Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui
pillaient
Faut-il oublier qu'en 1830, il y avait à peu près 5.000 Turcs, 100.000 Koulouglis, 350.000 Arabes et 400.000 Berbères dans cette région du Maghreb où n'avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains. Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l'Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner.
Faut-il oublier qu'en 1830 les populations étaient sous développées, soumises
aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de
toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant " Bou Krat
" (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2.000 ans .La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis!
Faut-il oublier qu'à l'inverse du
génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien
par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre
romano-berbère par les Arabes entre l'an 700 et 1500,
Faut-il oublier que
Faut-il oublier qu'en 1962
Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres, les
marécages palustres de
Faut-il oublier que
Faut-il oublier qu'en 1962, un million d'européens ont dû quitter l'Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d'ancêtres s'étaient pourtant installés, là, 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s'y établisse. Etait-ce une guerre d'indépendance ou encore de religion ?
Faut-il oublier qu'à notre départ en 1962, outre au moins 75.000 Harkis,
sauvagement assassinés, véritable crime contre l'humanité, et des milliers
d'européens tués ou disparus, après ou avant, il y a eu plus de 200.000 tués
dans le peuple algérien qui refusait un parti unique, beaucoup plus que pendant la guerre d'Algérie. C'est cette guerre
d'indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d'autre, qui a
fondé l'identité algérienne. Les hommes sont ainsi faits !
Monsieur le Président, vous savez que
En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n'est-il pas utilisé pour permettre
la mainmise d'un groupe sur le territoire algérien ?
Je présente mes respects au Président de
Un citoyen français,
André Savelli,
Professeur agrégé du Val de Grâce.
Agression d'un journaliste à #Reims : un migrant algérien arrivé à Reims il y a 3 ans et déjà condamné à 8 reprises arrété pic.twitter.com/CGoQyuAhW0
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) March 3, 2021
Le même jour, Darmanin dissout l'association patriote "Génération Identitaire" et Macron sur les conseils de Benjamin Stora fait la carpette devant le FLN...
La république a le pantalon sur les chaussures. On vit une époque formidable !