Bihorel refait la "une" des journaux et comme d'habitude, à cause du freluquet, ce n'est pas à son honneur. Hier, le déni de démocratie du maire s'étalait dans les journaux. Aujourd'hui ce sont les comptes dans le rouge de notre commune et demain sans doute, sa mise sous tutelle du préfet , si aucune solution n'est trouvée d'ici la fin octobre. Eh oui, mes chers Compatriotes, la cigale Houbron ayant chanté pendant des années "dans le cadre de la bonne gestion qui est la nôtre", se trouva fort dépourvue lorsque la rigueur fut venue.
Cela devient une habitude. En 2012, Houbron avec Renard, avaient perdu un million d'euros de dotation de l'état. Cette année, c'est 600.000 euros qui lui manquent. Ces gens là ne savent pas compter, cela devient inquiétant. Alors, comme toujours en pareil cas, notre "Calimero" local ouvre sa mallette à bobards et nous en sort pour se justifier les mêmes antiennes quelque peu élimées : la dé-fusion, la faute de l'état et le complot politique.
Cela devient une habitude. En 2012, Houbron avec Renard, avaient perdu un million d'euros de dotation de l'état. Cette année, c'est 600.000 euros qui lui manquent. Ces gens là ne savent pas compter, cela devient inquiétant. Alors, comme toujours en pareil cas, notre "Calimero" local ouvre sa mallette à bobards et nous en sort pour se justifier les mêmes antiennes quelque peu élimées : la dé-fusion, la faute de l'état et le complot politique.
Si le maire avait eu un peu plus le souci de l'intérêt général et un peu moins celui de sa carrière politique, il n'aurait pas embarqué Bihorel dans une fusion mal ficelée, exécutée à la va vite, que la justice française, qui dit le droit, a cassée et aujourd'hui, notre commune bénéficierait encore et toujours de la même dotation financière de la part de l'état. Bihorel avait un budget qui certes ne lui permettait pas de faire des folies mais néanmoins de maintenir le niveau de services à ses habitants. C'est ce que vous confient en aparté, quelques anciens adjoints de la majorité, déjà présents à l'époque de Jean Freret.
A l'heure où tout citoyen est appelé à faire des efforts, il est logique que les communes participent dans ce sens à l'effort national et si les baisses de dotations sont parfois importantes, c'est également qu'un transfert de compétences se fait depuis plusieurs années des communes vers la Crea (c'est le cas cette année de l'entretien de la voirie) et demain continuera à se faire vers la métropole. Mais avec Pascal Houbron, c'est comme avec François Hollande. Les impôts augmentent (première décision du maire après les municipales) mais les déficits continuent de se creuser. Et encore, les conséquences financières des délires immobiliers (préemptions) du maire sont encore à venir. Décidément, en France nous ne manquons pas de capitaines de pédalo...Mais les Bihorellais ont réélu Houbron comme maire, alors qu'ils le gardent et tant pis pour leurs feuilles d'impôts.
Mes chers Compatriotes, en mars dernier lors des élections municipales, je figurais sur la liste de large rassemblement qui fut défaite mais finalement, j'y vois au moins un avantage. Celui de pouvoir observer avec gourmandise, Houbron et sa bande s'engluer et se débattre dans les effets de leurs inconséquences passées. Ce n'est là, que justice.
CD
L'illusion n'aura pas duré plus de 6 mois...
RépondreSupprimerAvec un programme aussi vide, il était écrit dès le lendemain de son élection que notre bon maire chercherait à se débarrasser de sa commune à la première occasion. Après une tentative de fusion avortée, une fusion bâclée suivie d'une gifle de la justice administrative, il se sert aujourd'hui de la baisse de la dotation de l'état accompagnée d'une anomalie administrative. Bazarder sa commune est son obsession depuis plus de 10 ans.
Du point de vue financier, le transfert de la compétence voirie à la futur métropole ne va pas nous faire économiser grand chose. L'état des rues aujourd'hui témoigne du peu d'intérêt que porte la majorité à ce dossier.
Nous aurions mieux fait de demander le transfert de la gestion des contentieux, poste en croissance exponentielle sous les mandatures Houbron.
Attendons, je pense que d'ici 6 mois, il va nous resservir la fusion et nous expliquera que bien qu'il avait clairement dit pendant sa campagne qu'il ne "refusionnerait" pas, cette option est la seule possible. Le goupil se lèche déjà les babines.
Raymond