
Pourtant hier au soir il avait choisi de répondre à une partie marginale de mon discours. Je ne m’attarderai pas sur son prêchi prêcha de chevalier blanc, mais plus sur la forme. Benoît Pétel avait choisi le cadre du conseil municipal pour m’apostropher, seule enceinte où il me soit interdit de lui porter la contradiction. Cela nous éclaire sur son courage en politique.
Alors dites nous Benoît, si on résume, le vrai planqué qui est ce ?
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