
Les conditions du crime parfait sont maintenant réunies. L’autocrate a fait voter, sans surprise, hier au soir la fin de l’étude concernant le PLU.
Si l’on connaît le nom de celui qui plantera le poignard dans le dos de Bihorel, voici le nom de ses complices :
Christine Bazin, André Calentier, Odile Le Compte, Jean Marc Chevallier, Denis Poussin, Laure Pimont, Gérard Dantan, Françoise Lacaille Lainé, Nathalie Lecordier, Christian Yvonnet, Danièle Guillouet, Florence Martel, Jérôme Larue, Maryse Chaillet, Patrice Gazet, Edwige Philippe, Jacque Breba, Annette Bessin, François D’Hubert, Dominique Buyck et Maurice Buisson.
Les oppositions se sont montrées combatives. Jean Claude Ravenel a argumenté une fois encore de manière intelligente et circonstanciée son discours du refus du PLU, suivi en tous points par Martine Laconde, Benoît Pétel ou Guillaume Avisse dans leurs interventions. Je les ai soutenus par mes applaudissements mêlés à ceux de la foule restée à l’extérieur de la mairie.
Mais la pièce était écrite et face à l’autisme et à la mauvaise foi, les meilleurs discours restèrent vains.
Une pensée pour les électeurs de la liste J'aime Bihorel. Maurice Buisson avait encore une fois déserté l’arène et confié sa délégation de vote à D. Buyck. Autrement dit il s’est rangé parmi les godillots du maire et a voté avec eux. C’est tellement devenu une habitude que l’on peut considérer Maurice Buisson comme le 22ème élu de la majorité. Ses électeurs apprécieront.
Donnons la palme (je vous laisse décider de quoi) à Pascal Houbron pour sa phrase:
Si l’on connaît le nom de celui qui plantera le poignard dans le dos de Bihorel, voici le nom de ses complices :
Christine Bazin, André Calentier, Odile Le Compte, Jean Marc Chevallier, Denis Poussin, Laure Pimont, Gérard Dantan, Françoise Lacaille Lainé, Nathalie Lecordier, Christian Yvonnet, Danièle Guillouet, Florence Martel, Jérôme Larue, Maryse Chaillet, Patrice Gazet, Edwige Philippe, Jacque Breba, Annette Bessin, François D’Hubert, Dominique Buyck et Maurice Buisson.
Les oppositions se sont montrées combatives. Jean Claude Ravenel a argumenté une fois encore de manière intelligente et circonstanciée son discours du refus du PLU, suivi en tous points par Martine Laconde, Benoît Pétel ou Guillaume Avisse dans leurs interventions. Je les ai soutenus par mes applaudissements mêlés à ceux de la foule restée à l’extérieur de la mairie.
Mais la pièce était écrite et face à l’autisme et à la mauvaise foi, les meilleurs discours restèrent vains.
Une pensée pour les électeurs de la liste J'aime Bihorel. Maurice Buisson avait encore une fois déserté l’arène et confié sa délégation de vote à D. Buyck. Autrement dit il s’est rangé parmi les godillots du maire et a voté avec eux. C’est tellement devenu une habitude que l’on peut considérer Maurice Buisson comme le 22ème élu de la majorité. Ses électeurs apprécieront.
Donnons la palme (je vous laisse décider de quoi) à Pascal Houbron pour sa phrase:
« ce n’est pas parce que l’on donne un droit à construire que cela se fera ».
C’est à vous mes chers compatriotes que reste le pouvoir d’inverser l’issue.
Nous avons la liste de celles et ceux qui s’apprêtent à commettre ce « communicide ». Ecrivons, téléphonons, questionnons les, nos arguments finiront par les faire douter et peut être changereront-ils leurs positions. Restons mobilisés et mobilisons autour de nous. C’est par le nombre que nous enrayerons la machine à détruire Bihorel de P. Houbron
Si nous échouons, commencera alors pour notre commune une longue agonie et le saccage progressif de notre cadre de vie.
C.D
C’est à vous mes chers compatriotes que reste le pouvoir d’inverser l’issue.
Nous avons la liste de celles et ceux qui s’apprêtent à commettre ce « communicide ». Ecrivons, téléphonons, questionnons les, nos arguments finiront par les faire douter et peut être changereront-ils leurs positions. Restons mobilisés et mobilisons autour de nous. C’est par le nombre que nous enrayerons la machine à détruire Bihorel de P. Houbron
Si nous échouons, commencera alors pour notre commune une longue agonie et le saccage progressif de notre cadre de vie.
C.D