"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 16 octobre 2025

lundi 13 octobre 2025

TRUMP !

 



Beaufisé, moqué, caricaturé, fascisé, c'est pourtant bien Donald Trump qui a réussi à faire libérer les derniers otages Juifs retenus par les terroristes du Hamas, obtenu un cesser le feu et renvoyé le nucléaire iranien au paléolithique. Réjouissons-nous, mes chers Compatriotes, même si cette joie est tempérée par l'absence de ceux qui ne rentreront jamais vivants et par le prix payé par le peuple israélien !

Mais quel pied de nez à la gauche mondiale et française et à tous les germanopratins ! J'en connais un paquet qui ont du s'étouffer, ce matin, en avalant leur keffieh de travers. Adieu croisière en flottille, les islamo-gauchistes vont devoir trouver une autre trahison pour racoler dans les zones islamisées de l'hexagone. Mais je leur fais confiance, les voyous antisémites du NFP ne sont pas en manque d'idées

.

Si nous avions un Trump en France, Boualem Sansal, serait rentré depuis longtemps chez lui ! Macron et Barrot font honte à la France et sont la risée des capitales étrangères.


C.D 



samedi 11 octobre 2025

Félicitations !

 



  Ce blog n'est pas spécialement renommé pour faire la part belle au maire de Bihorel, mais en la circonstance, je voudrais féliciter Pascal Houbron pour son initiative. La terrifiante montée du nouvel  antisémitisme favorisée par la gauche en France de nos jours, mais aussi partout en Europe, commanderait une condamnation et des réactions vives, claires et sans détour .


Les voix des politiques sont bien trop timides et peinent à se faire entendre . Peu d'élus ont le courage de se ranger du coté "des justes". Ainsi la commune de Bihorel est la seule en Normandie dont le maire ait pris, avec courage, la décision de planter un olivier, arbre de paix, en souvenir d'Ilian Halimi, victime de l'antisémitisme.

Je pensais que la lutte contre l'antisémitisme, en 2025 en France, était partagée par une très grande majorité des Français et dépassait les intérêts partisans. 

Visiblement pas à Bihorel, puisque les "Brutus" de "Bihorel en commun" (N.Lecordier) n'étaient pas présents (pas de "pub" pour le maire), pas plus que l'opposition de gauche dont les partis politiques réclament que soit affiché le drapeau Hamas/Palestine au fronton des mairies. 

Si un mauvais Covid ne m'avait pas plaqué au sol ce dimanche 5 octobre, je serais venu participer avec respect et solidarité à la cérémonie.


C.D





vendredi 10 octobre 2025

 



 Hier, toute la "Bien-pensance" n'a eu d'yeux et d'oreilles que pour la béatification républicaine du Bienheureux Badinter. Et comme bien souvent dans ce genre de circonstances, les discours sont élogieux et oublient la part d'ombre de l'action du béatifié. 

Le billet de Charlotte d'Ornellas met l'œuvre politique qu'a laissé R.Badinter à la justice française en perceptive. Une analyse remarquable de la journaliste, que je partage, et si je trouve totalement scandaleux la profanation de la sépulture de l'ancien garde des sceaux et président du Conseil Constitutionnel, cela ne m'empêchera pas de penser et d'écrire que pour l'ensemble de son œuvre, les victimes et leurs familles ne lui disent pas merci.


C.D






Pour un plat de lentilles

 

Boucle Telegram avec Mme Annie Vidal



La séquence politique que nous vivons depuis juillet 2024, confirme que ceux qui nous gouvernent et ceux qui nous représentent au plan national, n'ont aucun souci de l'intérêt général mais uniquement celui de leur gamelle.

Dans le cadre de la confiscation du pouvoir par la macronie, en pleine négociation pour se maintenir dans ses postes et conserver ses avantages, le gang des macronnards est prêt à sacrifier la reforme des retraites d' E.Borne en échange d'un pacte de non censure avec les écolos-socialos.

Rappelez-vous, mes chers compatriotes, que cette reforme a occupé un an et demi de vie politique française, fait sortir des centaines de milliers de manifestants dans les rues de France avec ces centre-ville saccagés, des milliers d'heures de travail perdues, des centaines de policiers blessés etc...Bref ceux-là même qui nous expliquaient que cette réforme était incontournable, qu'elle allait sauver un système de retraites en péril et l'avenir de nos enfants et bien aujourd'hui, pour un plat de lentilles, les mêmes nous expliquent que l'on peut mettre cette réforme en mode "pause" mais sans, bien évidemment, nous préciser que cela ne sauverait juste que leurs fesses mais coûterait des milliards d'euros à notre pays surendetté. Un peu chère, la voiture à cocarde, non ?

En tant qu'électeur de la deuxième circonscription de Seine Maritime, mes chers Compatriotes, j'attire votre attention sur le fait que notre députée, Madame Annie Vidal, ne fait pas exception à la règle, puisque dans la boucle Telegram où la Macronie se déchire, publiée sur son compte "X" par Louis Hausalter du Figaro, Mme Annie Vidal déclare "c'est bien trop tôt pour lâcher les retraites on grille toutes nos cartouches" (voir capture ci dessus). Est-il besoin de commenter ?

Si l'on voulait écœurer, les Français, de la démocratie parlementaire, on ne s'y prendrait pas autrement.


C.D 







mercredi 8 octobre 2025

 


 


Combien de fois sur ce blog, ai-je écrit que la France ne survivrait pas à 15 ans d'Hollando-macronisme ?

Crises financière, économique, culturelle, civilisationnelle, morale, sécuritaire, migratoire et maintenant politique et institutionnelle. La France s'est faite virer d'Afrique, sa voix ne porte plus et l'Algérie nous traite comme un paillasson. Elle n'a pas belle allure, la "start'up nation" ?

Après huit ans de Macron, la France est par terre. Tout est à reconstruire: école, système social et de santé, armée, justice, agriculture, industrie. Il est chouette votre "nouveau monde", ce produit avec son prédicateur que le système vous a vendu et que vous avez gobé comme des cloches. 

Je dis "vous" parce que je m'adresse à ceux qui dans un premier temps ont voté Hollande en 2012, puis Macron en 2017 et là, c'est impardonnable, une seconde fois en 2022 ! Sans doute estimiez-vous ne pas vous être suffisamment fait rouler dans la farine, il fallait y retourner et surtout éviter "le retour aux années sombres de notre Histoire" bande de résistants en peau de lapin. 

Concernant les frileux du bas de laine, ceux qui serraient très fort leur petite caissette à la seule évocation du prénom "Marine", j'espère (ou pas d'ailleurs) pour vous que vous l'avez bien planqué votre pognon, parce qu'avec une dette passée sous l'ère Macron de 2.100 à 3.400 milliards d'euros, les Rapetou de la finance internationale ne vont pas tarder à venir vous tondre, que vous soyez un "boomer" ou un jeune con.

D'ailleurs, la génération "Nicolas qui paie", il va lui falloir se secouer, aller au charbon et arrêter de vivre sur les RTT et les 35 heures ou les ruptures conventionnelles et les périodes volontairement alternées travail/chômage. On ne reconstruira pas une nation avec une économie prospère et un avenir pour nos enfants, sur la base d'une société de loisirs et de glandeurs. Au turbin !

Pendant que la France se meurt et que beaucoup de Français souffrent, à Paris c'est le théâtre de boulevard. Les portes claquent, les intrigues se nouent et se dénouent d'heure en heure, chacun avec ses petits calculs. Combien de députés aurais-je s'il y a dissolution? Que va devenir ma cote de popularité pour 2027 ? Comment garder encore, un peu plus longtemps, ma voiture à cocarde et mes indemnités ? 

Je suis en colère, comme beaucoup de Français, devant ce spectacle et le pire, c'est qu'en cas de démission de Macron, la campagne présidentielle n'excéderait pas cinq semaines et que pour la troisième fois consécutive, on nous volerait le vrai débat qui doit précéder toute élection présidentielle. Pourtant, les choses ne peuvent demeurer ainsi.

C.D







mardi 7 octobre 2025

1219

 



1219, c'est le nombre de femmes, d'enfants et d'hommes, assassinés parce que Juifs, le 7 octobre 2023, par les terroristes du Hamas et leurs complices.  

51 d'entre eux étaient de nationalité française.

En réponse, Macron a reconnu l'état fantôme mais terroriste de Palestine tenu par le Hamas.




vendredi 3 octobre 2025

Actes antichrétiens: la République doit protéger tous ses enfants!



 


86 sénateurs lancent un appel pour que les chrétiens soient protégés, en France, comme tous les autres croyants.


Depuis Boulevard Voltaire

Incendies d'églises, dégradations, attaques aux personnes, vols d'objets liturgiques : les actes antichrétiens progressent rapidement dans une forme d'indifférence qui contraste avec l'attention portée aux atteintes à d'autres religions. La sénatrice LR Sylviane Noël, soutenue par 85 sénateurs, a décidé de monter au créneau, Elle a choisi BV pour lancer un appel solennel au respect de nos lieux de culte.



Notre Dame brûle-t-elle toujours ?

Sur les seuls cinq premiers mois de l’année 2025, 322 actes antichrétiens ont été enregistrés en France, soit une hausse de 13 % par rapport à la même période, un an auparavant. Depuis trois ans, les vols d'objets liturgiques sont en forte hausse : 820 cas ont été signalés en 2024, contre 633 en 2022.

Des atteintes en augmentation

Pas une semaine ne passe sans que la presse quotidienne régionale ou les réseaux sociaux ne nous informent de ces atteintes, allant de la profanation à l’incendie volontaire jusqu’à l’atteinte à l’intégrité physique.

Dans les Landes, 27 églises au moins ont été vandalisées ou profanées en quelques semaines.

À Nice, la profanation récente d’une croix sur le boulevard de la Madeleine a profondément choqué la population et suscité l’inquiétude légitime du diocèse.

Plus récemment, encore, à Lyon, Ashur Sarnaya, Irakien de 45 ans en fauteuil roulant, membre de la communauté assyro-chaldéenne et fidèle de la paroisse Saint-Éphrem, avait fui l’Irak et la persécution pour trouver refuge dans notre pays. Le 10 septembre dernier, il a été assassiné devant son domicile alors qu’il diffusait une vidéo en direct sur les réseaux sociaux.

Comment oublier le martyre du père Jacques Hamel, assassiné de sang froid en 2016, dans son église, alors qu’il célébrait la messe ?

Une indignation à géométrie variable

Face à ces actes, il est frappant de constater une indignation à géométrie variable. Nous en avons un exemple dans l’actualité récente lors de la survenue de deux événements concomitants : les têtes de cochon déposées devant plusieurs mosquées de Paris ont suscité une vive réaction, dans la classe politique, et une couverture médiatique importante, tandis que l’incendie de la Vierge à Guingamp, en pleine messe de la Nativité, survenu dans des conditions tout aussi graves et symboliquement fortes, n’a suscité ni la même visibilité ni la même mobilisation. Cette différence de traitement renforce, chez de nombreux fidèles, le sentiment que certaines victimes de violences religieuses sont davantage considérées que d’autres.

Dans un contexte de recrudescence désormais indéniable, les chrétiens de France se sentent trop souvent abandonnés.

Car si la République a su créer, pour lutter contre l’antisémitisme et contre les actes antimusulmans, des plates-formes de signalement, des numéros d’alerte, des partenariats associatifs et des dispositifs d’accompagnement pour les victimes, rien de semblable n’existe pour les actes antichrétiens et cette différence ne peut plus être passée sous silence.

Cette dernière nourrit au plus profond des fidèles, et au-delà, un sentiment d’injustice. Elle laisse croire que la souffrance des uns serait moins importante, moins digne d’être entendue et soutenue que celle des autres.

Les mêmes moyens de protection pour tous

Notre devise nationale ne doit pas être une simple incantation.

La liberté suppose que chacun de nos concitoyens, sans distinction, puisse pratiquer sa foi sans craindre ni menaces ni profanations.

L’égalité commande que l’État, à son plus haut sommet, déploie les mêmes moyens de protection pour tous.

La fraternité, enfin, nous oblige à considérer que lorsqu’un croyant est blessé, c’est l’ensemble de la communauté nationale qui est atteinte.

À l’inverse de certains, jamais nous n’appellerons à dresser les victimes les unes contre les autres. Ils nous trouveront, d’ailleurs, toujours sur leur chemin pour rappeler avec force que chaque atteinte à la foi d’un citoyen est une atteinte à la République elle-même.

Que lorsqu’une synagogue est profanée, qu’une mosquée est visée, lorsqu’une église est vandalisée, c’est toujours la même liberté essentielle qui est menacée, la même blessure infligée au vivre ensemble. Or, aujourd’hui, les chrétiens n’ont à leur disposition aucun outil équivalent pour alerter, se protéger et obtenir justice. Cette asymétrie est intenable.

Aujourd’hui, nous appelons solennellement le gouvernement à agir sans délai. Pour garantir la liberté de culte de chaque citoyen français, il est urgent de mettre en place un dispositif national de signalement et d’accompagnement des victimes d’actes antichrétiens, accessible au grand public, lisible et efficace.

À l’heure où les tensions internationales exacerbent les fractures et où le respect mutuel est chaque jour plus fragile, nous devons envoyer un signal clair : aucune haine ne sera jamais tolérée, aucune violence contre un croyant ne sera jamais relativisée, aucune atteinte à un lieu de culte ne sera jamais minimisée.

Il en va de notre cohésion nationale, de notre fidélité à l’Histoire de France, à ses racines chrétiennes, et de notre attachement au principe de laïcité, qui n’est pas l’effacement des religions mais la garantie que chacune puisse exprimer sa foi dans la dignité et la sécurité.



Signataires :

Sylviane NOËL, Sénatrice de la Haute-Savoie

Henri LEROY, Sénateur des Alpes Maritimes

Christine BONFANTI-DOSSAT, Sénatrice de Lot-et-Garonne

Stéphane LE RUDULIER, Sénateur des Bouches-du-Rhône

Roger KAROUTCHI, Sénateur des Hauts-de-Seine

Hervé REYNAUD, Sénateur de la Loire

Brigitte MICOULEAU, Sénatrice de Haute-Garonne

Kristina PLUCHET, Sénatrice de l’Eure

Béatrice GOSSELIN, Sénatrice de la Manche

Christian KLINGER, Sénateur du Haut-Rhin

Hugues SAURY, Sénateur du Loiret

Olivier PACCAUD, Sénateur de l’Oise

Clément PERNOT, Sénateur du Jura

Sylvie GOY CHAVENT, Sénatrice de l’Ain

Patrick CHAIZE, Sénateur de l’Ain

Alexandra BORCHIO FONTIMP, Sénatrice des Alpes-Maritimes

Jean François RAPIN, Sénateur du Pas-de-Calais

Jean Marc BOYER, Sénateur du Puy-de-Dôme

André REICHARDT, Sénateur du Bas-Rhin

Brigitte HYBERT, Sénatrice de la Vendée

Valérie BOYER, Sénatrice des Bouches-du-Rhône

Françoise DUMONT, Sénatrice du Var

Jean Pierre VOGEL, Sénateur de la Sarthe

Pascale GRUNY, Sénatrice de l’Aisne

Florence LASSARADE, Sénatrice de la Gironde

Sabine DREXLER, Sénatrice du Haut-Rhin

Martine BERTHET, Sénatrice de la Savoie

Georges NATUREL, Sénateur de la Nouvelle-Calédonie

Dominique DE LEGGE, Sénateur d’Ille-et-Vilaine

Chantal DESEYNE, Sénatrice d’Eure-et-Loir

Louis Jean DE NICOLAY, Sénateur de la Sarthe

Jean Jacques PANUNZI, Sénateur de la Corse-du-Sud

Jacqueline EUSTACHE BRINIO, Sénatrice du Val-d’Oise

Christophe FRASSA, Sénateur représentant les Français établis hors de France

Lauriane JOSENDE, Sénatrice des Pyrénées-Orientales

Laurence MULLER BRONN, Sénatrice du Haut-Rhin

Ronan LE GLEUT, Sénateur représentant les français établis hors de France

Marie-Jeanne BELLAMY, Sénatrice de la Vienne

Catherine BELRHITI, Sénatrice de la Moselle

Paul VIDAL, Sénateur du Rhône

Laurence GARNIER, Sénatrice de la Loire-Atlantique

Eric DUMOULIN, Sénateur des Yvelines

Pascal ALIZARD, Sénateur du Calvados

Alain JOYANDET, Sénateur de la Haute-Saône

Corinne IMBERT, Sénatrice de la Charente-Maritime

Jacques GROSPERRIN, Sénateur du Doubs

Laurent BURGOA, Sénateur du Gard

Frédérique PUISSAT, Sénatrice de l’Isère

Anne CHAIN-LARCHE, Sénatrice de la Seine-et-Marne

Jean SOL, Sénateur des Pyrénées-Orientales

Pierre CUYPERS, Sénateur de la Seine-et-Marne

Francis SZPINER, Sénateur de Paris

Bruno SIDO, Sénateur de la Haute-Marne

Marta DE CIDRAC, Sénatrice des Yvelines

Damien MICHALLET, Sénateur de l’Isère

Nadine BELLUROT, Sénatrice de l’Indre

Dominique ESTROSI SASSONE, Sénatrice des Alpes-Maritimes

Guillaume CHEVROLLIER, Sénateur de la Mayenne

Elsa SCHALCK, Sénatrice du Bas-Rhin

Pauline MARTIN, Sénatrice du Loiret

Max BRISSON, Sénateur des Pyrénées-Atlantiques

Christian CAMBON, Sénateur du Val-de-Marne

Olivier RIETMANN, Sénateur de la Haute-Saône

Stéphane SAUTAREL, Sénateur du Cantal

Michel SAVIN, Sénateur de l’Isère

Else JOSEPH, Sénatrice des Ardennes

Sylvie VALENTE-LE HIR, Sénatrice de l’Oise

Alain CHATILLON, Sénateur de la Haute-Garonne

Stéphane PIEDNOIR, Sénateur du Maine-et-Loire

Alain CADEC, Sénateur des Côtes-d’Armor

Daniel LAURENT, Sénateur de la Charente-Maritime

Viviane MALET, Sénatrice de la Réunion

Marc-Philippe DAUBRESSE, Sénateur du Nord

Marie Mercier, Sénatrice de la Saône-et-Loire

Jean-Marc DELIA, Sénateur des Alpes-Maritimes

Alain HOUPERT, Sénateur de la Côte-d’Or

Fabien GENET, Sénateur de la Saône-et-Loire

Bruno BELIN, Sénateur de la Vienne

Rémi POINTEREAU, Sénateur du Cher

Anne-Marie NEDELEC, Sénatrice de la Haute-Marne

Anne VENTALON, Sénatrice de l’Ardèche

David MARGUERITTE, Sénateur de la Manche

Arnaud BAZIN, Sénateur du Val-d’Oise

Etienne BLANC, Sénateur du Rhône

Jean-Claude ANGLARS, Sénateur de l’Aveyron

Frédérique GERBAUD, Sénatrice de l’Indre


 
NDLR: si mes yeux ne me trompent pas, je n'ai pas vu dans cette liste, un seul sénateur des départements normands


C.D






samedi 27 septembre 2025

"Un autre quinquennat"

 




La condamnation de Nicolas Sarkozy a déchainé, à juste titre, les passions. Indignation à droite, haine et champagne à gauche.

Personnellement, j'ai apprécié la "une" du quotidien suisse "Le Temps" qui titrait "Un autre quinquennat" en référence aux cinq ans de prison ferme dont N.Sarkozy a écopé. 

La gauche, hier, avait comme bien souvent, la haine qui lui bavait aux lèvres. Et pourtant, c'est à gauche que j'ai lu la meilleure réaction à ce "coup d'état des  juges" en la personne de J.M. Aphatie que je trouve d'ordinaire, assez crétin et démagogue, bref, gauchiste dans ce qui se fait de plus bas de plafond.

Il faut bien, une exception pour confirmer la règle.

Voici ce J.M.A a texté hier :

"La décision rendue à propos de Nicolas Sarkozy mérite quelques commentaires. 

L’enquête judiciaire a échoué à retrouver l’argent libyen. C’est un constat, pas une critique. 

Bien sur, les enquêteurs ont été confrontés à une tonne de mauvaise foi et deux de mensonges. Mais le fait est là : pas d’argent sale dans les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, ni dans ceux de ses amis. 

Par ailleurs, l’enquête n’a pas établi que l’ancien président « savait », quoi d’ailleurs ? Aucune trace écrite, aucun enregistrement sonore, aucun témoignage sérieux. On peut parler de l’échec de l’enquête et le regretter. On ne peut pas l’ignorer. 

Les trois juges du Tribunal correctionnel de Paris ont enjambé la difficulté d’une manière curieuse, qu’il faut expertiser. À propos des voyages en Libye de Brice Hortefeux et Claude Guéant, voyages curieux et fantaisistes, oui, les magistrats disent de l’ancien président : « Il ne pouvait pas ne pas savoir. ». Donc, il savait. Il savait quoi ? La justice ne le sait pas. Et sur quoi s’appuie-t-elle pour valider son affirmation d’une non ignorance dont la justice ignore le contenu ? Sur rien. Et c’est donc sur ce vide qu’elle diagnostique une « association de malfaiteurs » avec à sa tête un homme dont personne ne sait ce qu’il savait, mais qui ne pouvait pas ne pas savoir. 

Résultat : cinq ans de prison. Je ne défends pas ici Nicolas Sarkozy. Je défends une certaine idée de la justice. Elle ne peut pas être rendue ainsi, sur l’affirmation que l’ignorance est impossible. Cela revient à enfermer quelqu’un par l’absurde, à le priver de sa liberté par un raisonnement que rien ne corrobore, que personne ne valide. Cette décision porte en elle quelque chose d’effrayant. Par fonction, les juges ont du pouvoir. Ils ne peuvent pas en user ainsi. 

Un mot encore sur l’enfermement immédiat de l’ancien président. Pourquoi ? Parce que la faute est gravissime, qu’elle porte atteinte à la sincérité du suffrage universel, donc à la démocratie. Voilà l’explication des juges. Cette subjectivité est écrasante. Elle rend vaine la procédure d’appel. Ce qui est un bouleversement, un choc, une réalité qui me semble inacceptable.

Certes la loi permet cette « exécution provisoire » de la peine, qu’il vaut mieux nommer « exécution immédiate » et qui a même des allures d’exécution tout court. Mais la loi est-elle appliquée ici en respectant l’esprit de sa rédaction ? À l’évidence non, puisque l’enferment immédiat vise surtout à prévenir une récidive. Ici, le risque est inexistant. Donc, les juges ont été trop loin. Ils l’ont fait volontairement, pour des raisons que j’ignore. Et je ne permets à personne ici d’insinuer que « je ne peux pas ne pas savoir », parce que franchement je ne comprends pas comment des juges ont pu rendre, au nom du peuple français, une décision aussi aberrante, inquiétante et finalement injuste. 

Etonnant, non ? ".










jeudi 25 septembre 2025

"Les pays européens vont direct en enfer"

 





 On l'apprécie ou on le déteste, mais Donald Trump ne laisse personne indifférent. Depuis début 2025, il a effectué son retour dans la politique mondiale comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Les mollahs iraniens vous le confirmeront...

Hier à l'ONU, Donald Trump a prononcé un discours sans filtre et a assené pas mal de vérités dérangeantes (les pays européens vont direct en enfer) à l'adresse des dirigeants des nations européennes, sur les risques de voir l'invasion migratoire faire disparaitre les peuples et les cultures autochtones. Le "machin" (Onu, comme la nommait Ch.de Gaulle) en a pris aussi pour son grade. J'ai moins été convaincu par la partie de son discours concernant les changements climatiques en cours, même si la partie consacrée à l'éolien était pertinente.

Un langage direct, à la cowboy que les pseudo élites européennes auront écouté en ricanant alors que les peuples européens, eux, auront entendu le discours qu'ils attendent de la part de leurs dirigeants, depuis trop longtemps. Vivement que nous ayons, nous aussi, un "couillu" à la tête de la France, qui défende les intérêts des Français.


C.D








mardi 23 septembre 2025

Philippine

 


  Stèle (1) posée à l'endroit même où, voici un an, un marocain sous OQTF assassina Philippine après l'avoir violée. Nous ne devons jamais l'oublier. D'ailleurs comment pourrions-nous ? Elle pourrait être notre fille ou notre petite fille, chaque famille française est aujourd'hui concernée vu le nombre de barbares qui hantent nos rues.

Mais au delà d'une famille brisée, c'est une vie volée, un amour brisé, des enfants qui ne naitront pas, des joies et un rayonnement perdus à jamais que nous pleurons tous. Enfin je l'espère...

Qu'a fait la république depuis cette tragédie, pour qu'il n'y ait jamais plus d'autres Philippine ? Rien !

Pourtant l'occasion lui en fut donnée avec la loi Marleix qui prévoyait de prolonger la durée de rétention de sauvages du type de l'assassin et violeur de Philippine. Ce marocain visé par une OQTF avait déjà été condamné pour viol mais remis en liberté. Ce juge des libertés lui aussi, devrait rendre des comptes.

Cette loi "Marleix votée par les deux assemblées fut retoquée par les vieilles badernes du conseil constitutionnel bouffies de bons sentiments et qui ainsi validèrent la possibilité que d'autres "Philippine" soient violées et assassinées dans les mêmes circonstances. Ces membres du Conseil devraient, eux aussi rendre des comptes.  

Dans une interview donnée ces derniers jours au Figaro, Blandine de Carlan, mère de Philippine déclara:

"L’abrogation de la loi Marleix (par le Conseil Constitutionnel / NDLR) m’a écœurée et anéantie. Comment des hommes et des femmes peuvent prendre le risque que nos jeunes soient assassinés ? ". J'aimerais entendre la réponse d'Ali Juppé.

Ceux qui n'ont pas suivi, hier soir, l'interview de Blandine de Carlan par Christine Kelly sur Cnews (l'autre va encore nous parler de "brainwashing") et bien je vous invite très fortement à le visionner en "replay", tellement il s'agit là d'une leçon de vie, de dignité mais aussi de l'expression d'une terrible douleur qui ne connaitra pas de fin. 

Tous les gardes des sceaux, tous les premiers ministres qui se sont succédés depuis 1981 sont responsables de ce qui est arrivé. Aujourd'hui en France, on privilégie l'accueil de "l'Autre" à la sécurité de nos enfants et ce n'est pas un catho bon teint de l'aumônerie des migrants qui vous dira le contraire. "Philippine, je m'en fous de ce qu'elle pense", m'avait - il affirmé un dimanche à la sortie de la messe. A lui aussi, je conseille le visionnage de l'interview sur Cnews.

Peut-être, changerait-il après, sa drôle de conception de l'amour de son prochain.


C.D

(1) je ne donne pas six mois, avant qu'elle  soit saccagée.