"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

samedi 28 juin 2014

Saturday Night


C'est vers 13 / 14 ans que j'ai dû, pour la première fois, entendre Neil Young et malheureusement 40 années sont passées depuis... Peu importe, ses albums accompagnent toujours ma vie. J'aime le personnage, sa musique. Combien de ses vinyles dans ma discothèque, je ne sais plus. Tous différents, des sublimes d'autres ordinaires, jamais de mauvais mais souvent surprenants, inattendus ou simplement "roots".

"A Letter Home" fait partie de la dernière catégorie. Neil Young approche de la huitième décennie de son existence (né en 1945) et ce "Letter from home" a été enregistré à Nashville, berceau du rock dans les fifties, avec un très ancien procédé le "voice o graph", peut être d'ailleurs (à vérifier) celui utilisé par Elvis pour enregistrer sa première chanson en démo. 
Bref cet album ne "fera" pas numéro "1" dans les "charts". Peu nous importe, l'enjeu ne fut jamais celui-ci, non "A Letter home" est un disque brut, rempli de mélancolie où flotte la présence de disparus dans l'atmosphère de la recherche d'un temps perdu à jamais.

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